Concert Bordeaux : Musique Anglaise d’aujourd’hui a cappella

De concert en concert…
Venez nous retrouver à Bordeaux avec les Easy Singers Consort qui ont organisé le « match retour » suite à notre rencontre à Pau en 2023. Ce sera un immense plaisir que de chanter avec eux.

« Après dix ans d’existence, les Easy Singers enchantent toujours leurs fans ! Créé à l’initiative de Pascale Mannant, Arnaud Legendre et Philippe Delpech, trois amis unis par la passion du chant choral, l’ensemble continue de nous faire vibrer.

Leur répertoire est aussi varié que leurs envies : de la Renaissance à la musique contemporaine, nous explorons tous les styles, souvent a cappella, mais aussi accompagnés par des musiciens. Dès le début, nous avons choisi la liberté en proposant des concerts à participation libre, pour que la musique soit accessible à tous.

Après un programme de lieds allemands l’année dernière, nous vous proposons cette année un thème universel : l’amour. Rejoignez-nous le 9 novembre pour un concert exceptionnel en compagnie du talentueux chœur palois Émergence. » Renseignements au 06 62 24 58 79

Libre participation

PHILIP STOPFORD (1977-) There Is No Rose [paroles], (2015) pièce pour 4 voix a cappella, a été composée pour George Bevan et le chœur de chambre de Monkton Combe School à Bath. Le texte est un chant de Noël datant du XVe siècle en anglais et latin.

JOHN IRELAND (1879-1962) The Hills [paroles] (1953), chant pour chœur mixte sur un poème de James Kirkup (1918-2009). Il s’agit de leur contribution à A Garland for the Queen, un recueil de compositions commandées à dix musiciens britanniques et dix poètes contemporains pour marquer le couronnement de la reine Elizabeth II, en juin 1953.

JOHN TAVENER (1944-2013) The Lamb (1982)[paroles] chant célèbre pour 4 voix, est apprécié mondialement autant par les chœurs que par les spectateurs. Le jeu dissonant des 7 notes qui constituent toute la pièce, qui sont agencées dans une arabesque d’inversions en miroir, crée une ambiance mystérieuse. Les paroles sont du poète anglais William Blake, de son recueil Songs of Innocence (1789), et évoquent l’amour que porte Dieu pour toutes ses créatures, même les plus faibles.

KNUT NYSTEDT (1915-2014) I will praise thee o Lord [paroles]

RICHARD ROGERS (1902 – 1979) Blue moon (1934) [paroles]

ROLF LOVLAND, avec argt de Roger Emerson You raise me up [paroles]

BEN OAKLAND (1907-1979), avec argt de Kirby Shaw : Java jive (1940) [paroles]

GEORGE DAVIS WEISS, avec argt de Jean-Paul Finck : What a wonderful world (1967) [paroles]

HENRI MANCINI (1924-1994)/ JOHNNY MERCER (1909-1976), argt Alain Langrée : Moon River (1961) [paroles]

JOSEPH KOSMA (1905-1969), JACQUES PRÉVERT (1900-1977), avec argt de Ryan O’connell et paroles anglaises de Johnny Mercer : Autumn leaves (1945) [paroles]

Et peut-être : 

BOB CHILCOTT (1955- ) God so loved the world [paroles]

OLA GJEILO (1978-) Northern lights (2007) [paroles]

***

SOPRANI – Valérie DARBAS, Emmanuelle FAUSSAT, Joan JOFFRES, Penny LOUSTRIC, Béatrice PEHAU

ALTI – Brigitte CHEREAU, Mireille GAIN, Morag MUNRO-LANDI, Véronique LÉGLISE, Caroline LALAUDE, Oona CABOZ

TÉNORS – Michel HEMMI, Gilles MOULONGUET, Alain OLY

BASSES – Laurent FRANCO, Bruno HUSSON, Rémy AMROUCHE.

***

PHILIP STOPFORD (1977-) There Is No Rose, (2015)

There is no rose of such virtue As is the rose that bare Jesu; Alleluia.
For in this rose contained was Heaven and earth in little space; Res miranda.
By that rose we may well see That He is God in persons three, Pares forma.
The angels sungen the shepherds to : Gloria in excelsis Deo : Gaudeamus.
Now leave we all this worldly mirth And follow we this joyful birth; Transeamus.

JOHN IRELAND (1879-1962) The Hills (1953)

How calm, how constant are the hills! How green and white and golden in the summer light!
Their lakes, their leaping wells are bright
With flower, leaf and rain.
And their profounder rivers run from rocks
That are the altars of the sun.
How calm, how constant are the hills !
Our time’s dark gale of ice and fire
Thunders around them but removes them never.
No tempest overthrows their strong humility.
They are both god and temple,
And their stones are holy, the earth’s enduring thrones.

JOHN TAVENER (1944-2013) The Lamb (1982)

Little Lamb, who made thee?
Dost thou know who made thee?
Gave thee life, and bid thee feed,
By the stream and o’er the mead;
Gave thee clothing of delight,
Softest clothing woolly, bright;
Gave thee such a tender voice,
Making all the vales rejoice?
Little Lamb, who made thee?
Dost thou know who made thee?
Little Lamb, I’ll tell thee,
Little Lamb, I’ll tell thee:
He is called by thy name,
For he calls himself a Lamb.
He is meek, and he is mild:
He became a little child.
I, a child, and thou a lamb,
We are called by his name.
Little Lamb, God bless thee!
Little Lamb, God bless thee!

L’agneau

Petit Agneau, qui t’a fait ?
Sais-tu qui t’a fait ?
Qui t’a donné la vie et procuré la pitance
Le long des cours d’eau et dans les pâturages ;
Qui t’a donné cette robe délicieuse,
La plus douce, soyeuse, lumineuse ;
Qui t’a donné une voix si tendre,
Qu’elle enchante toute la vallée ?
Petit Agneau, qui t’a fait ?
Sais-tu qui t’a fait ?
Petit Agneau, je te le dis,
Petit Agneau, je te le dis :
On l’appelle par ton nom,
Car il se nomme lui-même Agneau.
Il est humble, et il est doux ;
Il est devenu petit enfant.
Moi l’enfant, et toi l’agneau,
Nous sommes appelés par son nom.
Petit Agneau, que Dieu te bénisse !
Petit Agneau, que Dieu te bénisse !

KNUT NYSTEDT 1915-2014) I will praise thee o Lord

I will praise thee, O Lord, with my heart
I will show forth all thy marvelous works

I will be glad and rejoice in thee
Rejoice in thee

Je te louerai, ô Seigneur, de tout mon cœur
Je raconterai toutes tes merveilles
Je me réjouirai et je me réjouirai en toi
Je me réjouirai en toi

You Raise Me Up
Tu Me Relèves

When I am down and, oh my soul, so weary.
Quand je vais mal, oh mon âme, si lasse
When troubles come and my heart burdened be.
Quand les problèmes viennent et que mon coeur s’alourdit,
Then, I am still and wait here in the silence,
Alors je suis immobile et j’attends ici en silence,
Until you come and sit awhile with me.
Juste que tu viennes et que tu t’assoies un moment avec moi.

(Chorus) (x2)

You raise me up, so I can stand on mountains ;
Tu m’élèves, alors je peux me tenir sur des montagnes.
You raise me up, to walk on stormy seas ;
Tu m’élèves, pour marcher sur des mers déchaînées.
I am strong, when I am on your shoulders ;
Je suis fort, quand je suis sur tes épaules.
You raise me up – to more than I can be.
Tu m’élèves – vers plus que je puisse être

There is no life – no life without its hunger ;
Il n’y a pas de vie- pas de vie sans sa faim
Each restless heart beats so imperfectly ;
Chaque coeur fatigué bat si imparfaitement
But when you come and I am filled with wonder,
Mais lorsque tu viens, je suis empli d’émerveillement
Sometimes, I think I glimpse eternity.
Quelquefois, je pense apercevoir l’éternité.

cf. lacoccinelle.net

BEN OAKLAND (1907-1979), avec arrangement de Kirby Shaw : Java jive

I love coffee, I love tea,
I love the Java Jive and it loves me
Coffee and tea and the java and me,
A cup, a cup, a cup, a cup, a cup!

I love java sweet and hot,
Whoops, Mister Moto, I’m a coffee pot
Shoot me the pot, and I’ll pour me a shot,
A cup, a cup, a cup, a cup, a cup!

Oh slip me a slug from the wonderful mug
And I’ll cut a rug ’til I’m snug in a jug
A slice of onion and a raw one, Draw one!
Waiter, waiter, percolator!


Boston beans (soy beans)
I said the little itty-bitty green bean (cabbage n’ greens)
You know that I’m not keen about a bean,
Unless it is a chile chile bean! (Talk it, boy!)

I love java sweet and hot,
Whoops, Mister Moto, I’m a coffee pot (yeah)
You shoot me the pot, and I’ll pour me a shot,
A cup, a cup, a cup, ‘an dat zat bootle!

Blow me a slug from that wonderful mug
And I’ll cut a rug that’s snug in a jug
Drop a nickel in my pot, Joe, takin’ it slow
Waiter, waiter percolator

J’adore le café, j’aime le thé,
J’adore le Java Jive et il m’aime
Café et thé et java et moi,
Une tasse, …, une tasse !

J’aime java doux et chaud,
Oups, Monsieur Moto, je suis une cafetière
Tirez-moi sur le pot, et je vais m’en verser un coup,
Une tasse, …, une tasse !

Oh verse-moi une trace de la merveilleuse tasse
Et je vais couper un tapis jusqu’à ce que je sois bien dans une cruche
Une tranche d’oignon et une crue, dessinez-en une ! Serveur, serveur, percolateur!

Haricots Boston (haricots de soja)
J’ai dit le petit haricot vert itty-bitty (chou vert)
Tu sais que je n’aime pas les haricots,
Sauf si c’est un haricot du Chili ! (Parle, mon garçon!)

J’aime java doux et chaud,
Oups, Monsieur Moto, je suis une cafetière
Vous me tirez sur le pot, et je vais m’en verser un coup, Une tasse, …, «un flacon de dat zat !

Souffle-moi une trace de cette merveilleuse tasse
Et je vais couper un tapis bien ajusté dans une cruche
Laisse tomber un nickel dans mon pot, Joe, va doucement, Serveur, serveur percolateur

GEORGE DAVIS WEISS, avec arrangement de Jean-Paul Finck : What a wonderful world (1967)

I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself
What a wonderful world
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself
What a wonderful world
The colors of the rainbow, so pretty in the sky
Are also on the faces of people goin’ by
I see friends shakin’ hands, sayin’ « How do you do? »
They’re really sayin’, « I love you. »
I hear babies cry, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll ever know
And I think to myself
What a wonderful world
Yes, I think to myself
What a wonderful world

Je vois des arbres de vert, de rouges roses aussi
Je les vois fleurir pour toi et moi
Et je me dis en moi-même quel monde merveilleux
Je vois des cieux de bleu et des nuages de blanc
La claire journée bénie, la noire nuit sacrée
Et je me dis en moi-même quel monde merveilleux
Les belles couleurs de l’arc-en-ciel à travers le ciel
Sont aussi sur les visages des gens qui passent
Je vois des amis se serrer la main en se demandant comment vont les choses
Ils se disent vraiment « je t’aime »
J’entends des bébés pleurer, je les regarde grandir
Ils vont apprendre beaucoup plus que je ne saurai jamais
Et je me dis en moi-même quel monde merveilleux
Oui, je me dis en moi-même quel monde merveilleux

source : choralearques.etab.ac-lille.fr

HENRI MANCINI/ JOHNNY MERCER Moon River

Moon river, wider than a mile
I’m crossing you in style some day
Oh, dream maker, you heart breaker
Wherever you’re going, I’m going your way

Two drifters, off to see the world
There’s such a lot of world to see
We’re after the same rainbow’s end,
Waiting, round the bend
My Huckleberry Friend,
Moon River, and me

Fleuve clair, plus vaste que le large
Nageant vers tes rivages, j’irai
Oh, cher rêveur, doux crève-cœur
Là où tu te glisses, je me glisserai

Comme l’air, tous deux nous allons
Avides d’impressions, d’émois
Nous cherchons le même arc-en-ciel,
Au bout d’une ruelle
Mon ami très fidèle,
Fleuve clair, et moi

d’après Claude Bouillin

JOSEPH KOSMA, JACQUES PRÉVERT, Autumn leaves (1945)

The falling leaves drift by the window
The autumn leaves of red and gold
I see your lips, the summer kisses
The sun-burned hands I used to hold

Since you went away the days grow long
And soon I’ll hear old winter’s song
But I miss you most of all my darling
When autumn leaves start to fall

d’après Poème de Jacques Prévert :

C’est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m’aimais et je t’aimais
Nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m’aimais moi qui t’aimais
Mais la vie separe ceux qui s’aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable les pas des amants desunis

BOB CHILCOTT God so loved the world

God so loved the world, that he gave his only begotten Son, that whosoever believeth in him should not perish, but have everlasting life.

OLA GJEILO (1978-) : Northern lights

Pulchra es, amica mea,
Suavis et decora filia Ierusalem.
Pulchra es, amica mea,
Suavis et decora sicut Ierusalem,
Terribilis ut castrorum acies ordinata.
Averte oculos tuos a me
Quia ipsi me avolare fecerunt

Tu es belle, ô mon amie, comme Tirsa,
Splendide comme Jérusalem,
Terrible comme des bataillons !
Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent.

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